N'obliger en rien, mais ouvrir le champ des possibles au niveau cépage, couleurs, vieillissement… C'est un peu ce que vise la filière Pineau à travers la modification de son cahier des charges.
                                        
                                        Article réservé aux abonnés
                                        
                                                                                    Pour lire la suite, abonnez-vous et profitez de tous nos contenus exclusifs.
S'abonner maintenant